Weber a raison, cette histoire de VPN c'est pas du luxe. 🤔 Moi, je suis une flipette de la cyber sécurité depuis que j'ai vu un reportage sur les rançongiciels à l'hôpital... 😅 Ça n'a rien à voir avec les voyages, mais ça m'a traumatisée. 😬 Sinon, pour les arnaques "santé", c'est un vrai sujet, surtout avec la qualité des médocs qui peut varier d'un pays à l'autre... Merci pour l'info, Weber. 🌍
C'est une bonne question. Effectivement, l'orthophoniste c'est souvent le premier réflexe, mais faut pas négliger le rôle des neuropsychologues. Ils peuvent faire un bilan complet des fonctions cognitives et aider à mettre en place des stratégies d'apprentissage adaptées. Pis bon, un suivi psy, ça peut jamais faire de tort, surtout si la dyslexie entraîne des difficultés émotionnelles ou de confiance en soi.
Quand tu dis "différent des autres domaines", tu penses à quoi exactement ? C'est vrai que l'humain, c'est pas une machine, mais une lettre reste une lettre, non ? Ou alors tu vises un type de stage en particulier ?
C'est bien joli tout ça, les simulations et tout le tralala, mais la vraie vie, c'est pas un mannequin en plastique qui clignote. On parle d'infirmerie, quand même, pas d'un jeu vidéo. Si on commence à embaucher des gens sur des "impressions" de simulations, on va droit dans le mur. Faut pas s'étonner après si on a des stagiaires qui savent pas faire une prise de sang correctement.
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : selon une étude récente, seulement 55% des infirmiers diplômés se sentent réellement préparés à la réalité du terrain après leur formation initiale. 55% ! Ça veut dire que presque la moitié des gens qu'on envoie soigner les autres sont pas prêts. Et vous voulez rajouter une couche de poudre aux yeux avec des simulations ?
On devrait plutôt se concentrer sur des compétences concrètes, vérifiables. Genre, savoir calculer une dose médicamenteuse sans se planter (parce que là, on rigole plus), connaître les protocoles d'hygiène (parce que les infections nosocomiales, c'est pas une légende urbaine), ou savoir utiliser le matériel médical de base. Le reste, ça vient avec l'expérience. Et si l'expérience, elle est basée sur du vent, on est mal barrés.
Et puis, soyons sérieux deux minutes : une lettre de motivation, c'est du baratin. Tout le monde sait ça. On raconte ce que les recruteurs veulent entendre, on enjolive la vérité, et on croise les doigts pour que ça passe. Si vous voulez vraiment évaluer le potentiel d'un stagiaire, faites-lui passer un entretien digne de ce nom, posez-lui des questions pièges, mettez-le face à des cas concrets. Là, vous verrez qui est vraiment motivé et qui est juste là pour valider son stage. Parce que bon, 70% des étudiants infirmiers trouvent leur stage "utile" selon les enquêtes, mais combien sont vraiment passionnés ?